Je ne suis qu'un paysan amoureux de la même Depuis la nuit des temps, comme un vieux chêne, je l'aime Et un jour de grand vent, une autre femme s'amène Des sourires de printemps sous sa petite laine Toi et moi, nous savons que les plaisirs d'amour ne durent qu'un moment Mais dans la poésie du probablement Il y a des contes brûlants seulement pour les grands On pourrait se séduire en continuant à boire Mais aimer, belle enfant, c'est la moitié de croire Ce n'est pas la faute à lui, à elle ou aux poètes Mais il y a de l'honneur qui rôde dans nos têtes
J'appartiens, ce n'est pas le moment, c'est désolant, fais comme avant J'appartiens, ce n'est pas le moment, c'est désolant, fais comme avant Si tu savais la place que cela prend pour le moment
Certains te diront n'appartenir à personne Et vouloir être libres de l'hiver à l'automne Mais l'hiver somnolent rêve des autres saisons L'automne est un enfant qui a toujours raison Nous devons, comme la noix, nous retrouver brisés pour être découverts L'humain se doit d'avoir souffert Si nous deux, c'est un jour ou même une seule nuit C'est comme d'abattre un arbre sans qu'il porte ses fruits Joindre l'inutile à l'agréable serait notre déclin Et l'homme d'une seule femme ne promet jamais rien
J'appartiens, ce n'est pas le moment, c'est désolant, fais comme avant J'appartiens, ce n'est pas le moment, c'est désolant, fais comme avant Si tu savais la place que cela prend pour le moment.