tant d'années à pofiner ma poésie du bitume ceux qui se prétendent être les plus forts n'ont pas encore morfler ne mesure pas mon parcours tu ne connais pas ma vie de quarier on a beau faire les durs et parfois on a le coeur bléssé on ne mène pas la vie que l'on auraient souhaiter le cul sur un banc trop fière pour utiliser le verbe aimer c'est de galères en galères qu'on arppente la vie d'en bas c'est pour leurs gosse que nos rents-pa se sont flingués la santé respects à toutes les femmes et africaines qui continuent le combat malgrès les grosses pattes de l'état ne baissons pas les bras n'oublier pas que les étrangers étaient votre première main d'oeuvre même pas un seul retour gracieu comprenez le mal de coeur ils en ont fait un sloggant génération blacks,blancs,beurs combien de rêves éffondrés comme le World Trate Center combien de frères ont vu leur fils écourtaient d'une balle j'en ai la rage de voir les mêmes expulsés bande de batards alors je rappe et j'écris pour qu'on m'entendent et parfois on a le coeur qui saigne car en banlieu même dans la merde on s'aime dans nos quartiers il n'y a pas que la violence et les drogues il y a aussi des gens tendre et des coeurs d'or j'ai tellement de choses à dire j'ai pas fini d'écrire des couplets parfois on manque d'oseil on est tenter à de goutter la depression en train de SEURCHMA de la boisson ingurgitant ce poison c'est de la descente à la destruction je bosse d'arache pied car j'ai qu'une seule envie c'est de percer je sais que le poids de mes mots peut engraîner les gosses de quartiers j'appelle ça du racket quand ils nous font racler les impôts ou marcher main dans la main à cause des tunes on se fait tourner le dos putain c'est dur je savais pas que c'était ça la vie j'aurais jamais imaginé que tu oserais me la mettre toi mon ami il y a des armes qui tournent au bout de chaques mauvais coup il y a la prison qui s'ouvre on pense qu'à soit quand on dit qu'on sen bat les couilles mais c'est nos mères qui souffrent je porte le poids de mes erreurs sur mes épaules les amis pardonnez moi si ma colère vous a blaisser vivons les instants présents demain peut être au taff attends pas que le malheur te frappe pour te dire si j'avais su tristement écorché passe un bit faut que j'évacue j'ai peut être un pied dans la sère-mi mais le sheitan ne me fera pas fléchir je prie si on touche à la famille je met du coeur à l'écriture les cicatrices se gardent à vie alors j'oeuvre pour la paix le point levé 26 bougies soufflées de cette vie on en sort marqué, essouflé je me pose un tat de questions sur l'avenir ou comment faire du bifton je ne serais pas BAKAR sans mon pote AABOU je ne veux pas que mes futurs petits voit leur père au placard facile à dire mais difficle quand il n'y a pas de gent-ar alors on se tiens en équilibre du mieux qu'on peut je remercie mon équipe une spéciale pour LE BALAFRé prends soin de ta petite TEFA prends soin de toi MASTA embrasse ton petit un grand merci a DJ BOUDJ , KILOMAITRE et ma musique à ceux qui empreinte le chemin de l'indépendance artistique 2006 la vie est brutal demande à KERY
l'espoir au bout de ma plume toute ma rage est dans l'écriture c'est pour toutes les banlieues que je crache ma poésie du bîtume laisse moi raper dégage de là laisse moi le chant libre la télé nous aveuglent et il y a l'argent qui nous assassine ( X 3 )