Il était brun, le teint basané Le regard timide, les mains toutes abîmées Il taillait la pierre, fils d'ouvier Il en était fier, mais pourquoi vous riez?
Non, ne le jugez pas Vous qui ne connaissez pas Les vertiges et le labeur Vous êtes faussement heureux, vous troquez vos valeurs
Lui, il est tout mon monde et bien plus que ça Seule, je crie son nom quand vient le désarroi Et puis tout s'effondre quand il n'est plus là J'aimerais tellement lui dire mais je n'ose pas Lui qui me fait
Tourner dans le vide, vide Tourner dans le vide, vide Tourner dans le vide, il me fait tourner Vide, vide, vide Tourner, tourner dans le vide Tourner dans le vide, il me fait tourner
Il était brun, le teint basané Le regard timide, les mains toutes abîmées Il taillait la pierre, fils d'ouvier Il en était fier, mais pourquoi vous riez?
Non, ne le jugez pas Vous qui ne connaissez pas Les vertiges et le labeur Vous êtes faussement heureux, vous troquez vos valeurs
Lui, il est tout mon monde et bien plus que ça Seule, je crie son nom quand vient le désarroi Et puis tout s'effondre quand il n'est plus là J'aimerais tellement lui dire mais je n'ose pas Lui qui me fait
Tourner dans le vide, vide Tourner dans le vide, vide Tourner dans le vide, il me fait tourner Vide, vide, vide Tourner, tourner dans le vide Tourner dans le vide, il me fait tourner