Toujours les mêmes choses, les choses qu'on ne renit pas Y a tellement de chose a dire,non, non faut leur dire, faut leur dire ce qu'on pense Mes dents grincent comme les portes d'un domaine, Quand je voie qu'on se domine, Les uns, les autres, ça me troue l'abdomen Je rumine toujours les même propos Je n'ai de cesse, je ressasse c'est toujours le même topo Systématique les même phrases idiomatique Qui fixent les zygomatiques autour de la même thématique Depuis le temps que j'ai commencé, depuis le temps que j'ai commencé Combien d'histoire j'ai romancé Mais voilà y a rien qui évolue Va savoir si entre nous c'est vraiment le bien qui est voulu Constate: y a que de la haine qu'on génère, On prend un malin plaisir a se détruire entre congénères Voir que tout foire, ça fout le cafard (même au K-Fear) Mais je suis pas de ceux qui pensent qui y a rien a faire Je vais pas te dire chuis pas déçu mais faut pas me dire Qu' y a pas d'issu et que la solution viendra pas d'ici {au Refrain, x4} -"Mais qu'est ce tu veux que je fasse, qu'est ce que tu veux que je te dise" Façon ce qu'on dit, on a beau le dire Tout le monde le sait , tout le monde le ressent Mais ça n'empêchera pas l'homme de faire couler le sang Accepter les leçons, des bâtards comme ça laisse tomber Je l'accepte seul si celle-ci est censé ou sans ça je fais le sourd L'homme d'état a les mains plus sales qu'un Dealer de crack qui fume mais en plus s'arrête au tapin Comment tu veux que j'ai confiance, comment tu veux que j'avance Dans ce décor combien ont perdu le bon sens Je dis ça en vérité j'flippe ma race Tu te rends compte j'passe pas 15 jours tranquille sans que les flics m'agressent Le petit Cainri faut pas qui vive ça Faut qui kiffe ça vive tranquille c'est pour lui qu'au ciel je prie ça A se demander mais ou on est, ou je suis, mais ou qu'on soit Je conçois rien, rien n'est perdu si plus de fous on est A se battre pour la même chose, la même cause Pas a qui souhaite mais c'est celle qui fait que tant de blême se posent {au Refrain, x4} Dans les cités, beaucoup de jeunes vivent dehors comme en prison L'argent nous pousse a noyer et c'est nous que nous méprisons Le désespoir est quand trop de jeunes s'tappent et s'tirent dessus S'embrouillent entre quartiers pour des bis-hat même pas de sous Ouais, un jeune sur dix cités pour s'évader de la cité Prends ou vends des produits illicite et veut fuir la mendicité Beaucoup finissent en prison, les plus malchanceux dans un linceul Un seul sur cent y réchappe mais petit pas que le malin seul En faite l'union fait la force,pourtant trop de jeunes s'entêtent A vendre leur âme au diable dès l'instant ou ils s'endettent La crainte d'un avenir compromis trouble jusqu'à leur sommeil Et c'est pour eux qu'il faut que la Gade brille comme le soleil Qu'elle éclaire l'esprit des jeunes perdus dans des blocs de ciment gris Car le savoir est une arme c'est ce que dieu odéci(?) mon cri Aux jeunes maintenus a l'ombre des cités ou entre quatre murs S'ils tombent que la foi les protègent tel une armure (ouais, tel une bombe!) {au Refrain}