Voici sur mon Chemin un étrange Lieu, Ici nul Mal Aise, ni aucune Douleur. Une Lumière voilée enveloppe mon Anxieux. Ici s’apaiseront un peu mes Pleurs.
Voici une Clairière merveilleuse Que découvrit mon Ame flâneuse. Aucun de mes Rêves n’a souillé Cet Endroit baigné de Pureté.
Tout autour résonnent des Airs langoureux Qui enivrent ton Esprit si malheureux Comme autant de doux Parfums alcooliques. Le Temps semble être depuis longtemps statique. Tout autour résonne…
Ton triste Cœur se tourmente moins, Le Poids des Maux semble si loin. Cette Lumière sur ton Corps est suave Et ces Airs caressants te lavent Comme pour t’autoriser ces Lieux Où Sombre et Angoisse sont odieux.
Des Arbres majestueux parés d’Or Et leurs Feuillages lourds où l’Air dort. Ce Val somnolait dans mon Ame Au sein du Brouillard de mon Drame.
Et pourtant… Ton triste Cœur se tourmente moins, Le Poids des Maux semblent si loin. Cette Lumière sur ton Corps est suave Et ces Airs caressants te lavent Comme pour t’autoriser ces Lieux Où Sombre et Angoisse sont Odieux.
Au Creux de mes Bras ma Fée se blottit, Nous reposons tranquillement unis. Bientôt il va falloir que je m’éveille L’Angoisse frappe à la Porte de mon Sommeil…