J'te dis pas Qu'j't'avais prévenu Mais chaque fois Tes déconv'nues Tes peines de cœur, avoue Que tu les cherches T'y échappes Jamais, dis-moi L'amour frappe Sans voir mais toi Tu t'jettes à tous les coups Contre ses flèches Maint'nant tu voudrais que je te plaigne Que j'saigne parc'que tu saignes Si t'as personne pour te consoler Allez j'veux bien m'y coller Comme le rouge du mercurochrome Qu'on applique sur les hématomes Le rouge de mes lèvres Apaisera ta fièvre J'te badigeon'rai comme un môme Pauvre môme Pleurnicheur Ta garde malade Elle a l'cœur En marmelade Et son état est pire Que le tien même Si tu veux Pas qu'elle y passe Bouge un peu Ta grande carcasse T'as vu comme elle soupire Dis-lui que tu l'aimes Depuis l'temps qu'jattends qu'tu m'apperçoives Tant pis va c'est pas grave Si j'faisais la grèves des infirmières J'en souffrirai la première Comme le rouge du mercurochrome Qu'on applique sur les hématomes Le rouge de mes lèvres Apaisera ta fièvre J'te badigeon'rai comme un môme Pauvre môme Comme le rouge du mercurochrome Qu'on applique sur les hématomes Le rouge de mes lèvres Apaisera ta fièvre J'te badigeon'rai comme un môme Le rouge de mes lèvres Apaisera ta fièvre J'te badigeon'rai comme un môme Pauvre môme
Compositores: Paroles et Musique: Jacques Duvall, Georges Lunghini 1992 "Douce violence"