Ni le chant d’un oiseau, ni le cri d’un ruisseau n’ont jamais couru dans mon île, n’ont jamais couru dans mon île Nous vivons chaque jour d’un soleil sans amour que a pris le sang de mon île, qui a pris le sang de mon île L’eau des fleurs qui fait chanter la terre est là bas sur un rivage clair et mes rames font plier la mer Sur de l’eau et pour de l’eau et tous jours sans écouter nos pleurs en ramant jusqu’à là fin du coeur Le chemin sera de sang et d’eau sur de l’eau et pour de l’eau