J'viens porter des quatrains, des proses Des vers et des couplets, Chanter des refrains de ma cause, Déchirer découper au-delà des règles et des clauses, levons nous pour parler Coincer entre guerre et paix C'est dans nos mains que sont les dés.
On en a marre des guns et des bombes Que la force écrive la loi, Reflète les ténèbres des tombes Sous l'aspect de la foi Poussière dans un champ de décombres On veut avoir le choix, Car l'homme au couteau, s' taille d'entrée la part du roi Tout s' passe dans le secret des coffres, des palaces des salons Des succès des rives d'écosses sur de noirs plafonds Avec la lumière des torches des bagues et des glaçons des compagnies
Du son de nos fantassins porte le blanc étendard des yeux imaginent la scène tambour et fanfare Entrer dans Jérusalem dans un nuage de sable sans armes, sans larmes Sous l'ombre de colombes innombrables Aucun partie dort sous notre bannière Rien qu'à Salam, ni armée qui posent des barrières Ni roquettes qui frappent où ça cri ici dans chaque pierre Cette ville est le cÂœur Moise, Jésus, Mohamed, enfin la paix enfin dans sa demeure
C'est une marche sur Jérusalem, Portant nos ames plus a l'est Une myriade de foi brise le silence et le futur s'allège Les sourires reprennent ces rides que la craintes et la peur balaye Laisse mourir deux mille ans tachées de haine.
C'est une marche sur Jérusalem Le monde sera plus a l'aise Apportons l'amour et l'olivier N'appellera plus à l'aide Conflits pour l'autorité, tout ça n'en vaudra plus la peine Laisse mourir deux mille ans tachées de haine.