Il te brime souvent T'humilie constament Il te frappe si fort que ton corps S'en souvient, encore et encore Pas la moindre tendresse Une qualité que t'encaisse Il t'abandonne à ton sors et ton coeur S'essouffle de plus en plus fort
Et quand sa main se leve Tu oublie ta pudeur, Depuis que l'amour s'est fait haine Tu apprends à dompter la peur Il fait de l'ombre à ton corps Et dans ce grand corps à corps Il n'y a personne qui s'en sort Il fait de l'ombre à ton corps
Tu as peur de ses mots Celui qu'il dit de trop, Tu subit sa violence Et ton corps s'en souvient, encore et encore Des soirées qui s'enchainent Dans un tourbillon de haine Il te detruit si fort que ton coeur
S'éssouffle de plus en plus fort
Et quand sa main se leve Tu oublie ta pudeur Depuis que l'amour s'est fait haine Tu apprends à dompter la peur Il fait de l'ombre à ton corps Et dans ce grand corps à corps Il fait de l'ombre à ton corps
Il fait de l'ombre à ton corps Et dans ce grand corps à corps Il n'y a personne qui s'en sort Il fait de l'ombre à ton corps Et dans ce grand corps à corps Il n'y a personne qui s'en sort