Tu me suis, tu me souris, dans la nuit tu me séduis Je sais que tu sais que je ne sais plus qui je suis Je t'aime tant je t'aime tant, pourtant. Comme le temps qui passe et ment, j'attends. Toujours perdante tu me tourmentes Et tes désirs me prirent pour me détruire Je prends un certain plaisir a souffrir A me punir, a me repentir. Toujours soumise, tu me méprises, tu me rejettes, tu me maltraites Douleur et désir sont synonymes de mon plaisir Je m'abandonne aux hommes sans souci ni tourment Je me suis perdue sans retenue pour un jeune homme Un peu hors de la norme Tu me cherches, tu me guettes, tu me tiens et je me sens bien Tu me prends si lentement, je désapprends Puis tu me rends au mon tourment Je serai ce qui te plait la lumière sur ta peau Celle qui attend a ta porte Et celle qui? peu importe, je serai ce que tu veux La sueur sur ton front, la brise dans tes cheveux Ou celle qui te brisera le cou Je te souris, je te nuis, je t'aime, je t?aime Je te détruis, je te tiens et tu viens Tout est bien qui finit bien Tu sais que je sais que tu ne sais plus qui tu es Depuis que tu t'adonnes a nos petits jeux hors de la norme Je te plais, tu me plais Nous sommes les amants du tourment La nuit nous tuons l'ennui, l'amour toujours nous suit L'amour toujours nous fuit, l'amour toujours nous détruit Comme la pluie et l'oubli comme des cris dans la nuit Je t'aime tant je t'aime tant pourtant.