À tous les soirs c’est toujours pareil Toujours les papillons qui se déchaînent À tous les soirs quand même c’est toujours vert Dans mes petits poumons Je vois venir le traître qui s’approche d’elle Qui s’accapare son étincelle C’est avec lui que partira ma belle Paranoïa, suis-je con
De m’imaginer ses mains sur elle , sur son corps Et tourne, tourne la raison qui m’abandonne De hurler la hargne qui m’envahit, qui me dévore Je prends ma rage, ma haine et sa jolie photo Son numéro et je les dévore
Après la gifle au visage, le poing au corps, J’étais cocu de l’âme jusqu’à la mort Encore une autre amère et sombre idée revient pour me hanter Le couteau c’est trop salaud, la corde pire encore Le fusil de chasse invite trop facilement la mort Ah oui le traître déposera sa tête sur ma guillotine Oui le traître déposera sa tête sur ma guillotine
De m’imaginer ses mains sur elle , sur son corps Et tourne, tourne la raison qui m’abandonne De hurler la hargne qui m’envahit, qui me dévore
Je prends ma rage, ma haine et sa jolie photo Son numéro et je les dévore