Les ailes brûlées, clouée au sol, Et la tête vers le ciel, vers la splendeur de l'éternel ailleurs Cherchant l'étoile qui fais tournée la roue Loin d’ce quadrillage ou même l'air ne peut être libre comme l'art Comme la pureté d'un geste, la profondeur d'une pensé illimité quand l'opinion est HS Sans mâcher mes mots, voir larges, est-ce barge ? Est-ce la frontière si fine entre folie et sagesse ? Réflexion pesante cheminement infinie en quête de l'archétypique Mais mon âme est souffrante Mémoire passé qui voudrait voir $$$$$mon espoir cassé Ou est la berge ?, ou est la perche ? maintenant j'en ai assez !! Je me noie… j'ai perdu ma barque quand j'ai vu que celui qui la conduisait n’était autre que mon ennemi Mais comme quand la nuit tombe, l'océan et le ciel ne forment qu'un Alors j'ai pu voir l'espace infini Oh liberté, ma chère amie, ta présence est abstraite Vu que c'est dans ma tête que j'ai appris à te connaître Oh liberté, imbibe mon encre et ne quitte plus mes pensées Bulle d'oxygène dans un monde limité Ou la vérité se cache en nous Clairvoyance, intuition mais avons nous idée de tous ce qui se cache en nous ? Ces rires contre larmes, l'ego contre l'âme Et à plus haute échelle je dirais l'Illuminati contre l'homme Epoque cruelle dénuée de sens Dur de voir clair derrière les mascarades et les buées de sang J’me sens perdue comme au cœur d'une immense machine qui n'en a jamais eu et qui nous dénature Mauvais pressentiment quand je pense au futur Les yeux ouvert, l'horreur tente de me les crever mais le plus dur Reste à venir le jour ou se sera trop tard Ou la surveillance sera absolue et nos prénoms seront des codes barres Tout va de plus en plus vite car pour eux le temps c'est de l'argent alors on oublie de vivre et c'est navrant... En nous se créer un vide, que rien de comblera car l’Ombre s’est emparée d’notre monde Mais on crois que s’qu’on voit ou s’qu’on veut bien nous laisser voir Donc ouais on est aveugle Ca m’fait mal au cœur, mais r’garde même nos âmes bug Au fond de nous c’est tourment, car dehors c’est tourment soumis à notre sort, on oublie qu’la vie est mouvement Que la force issue d’un idéal, ou d’une volonté transcende tous les schémas établis Qu’les barrières sont dans nos cranes Qu’on est seul à pouvoir les virer, s’libérer en laissant nos cœurs s ‘émouvoir Trop portés sur l’extérieur et à force de vouloir être comme tout le monde, peu sont quelqu’un, en fin de compte on d’vient c’qu’on nous montre Au lieu d’être ce qu’on est Pourtant ce mode de vie, fait mal mais on s’laisse cogner On subit un monde qui nous dépasse et qui nous replis sur nous même en nous laissant des traces Alors j’ferme les yeux pour ressentir la lueur Pouvoir faire le vide en moi, afin d’être réceptive au bonheur
Car changer le monde commence par se changer soi-même Changer le monde commence par se changer soi-même Changer le monde commence par se changer soi-même