Les ailes brulés, collés au sol, La tête vers la spendeur de l'éternel ailleurs Cherchant l'étoile qui fais tournée la roue Loin de ces quadrillages ou même l'air ne peut être libre comme l'art Comme la pureté d'un geste, la profondeur d'une pensé illumité quand l'opinion est HS La frontière si fine entre folie et sagesse Réflexion pesante j'ai mes mots infinie en quete de l'arquétique Mais mon ame est soufrante Mémoire passé il voudrait voir mon espoir cassé Ou est la perche maintenant j'en ai assez Je me noye j'ai perdu ma barque quand j'ai vu que celui qui la conduisais n'été autre que mon ennemi Mais comme quand la nuit tombe, l'océan et le ciel ne font qu'un J'ai pu voir l'espace infinie Oh liberté, ma chère amie, ta présence est abstraite Vu que c'est dans ma tête que j'ai appris à te connaitre Oh liberté, imbibe mon encre et ne quitte plus mes pensées Ou plus d'oxygène dans un monde d'unité Ou la vérité se cache en nous Clairvoyance, inddition mais avons nous idée de ce qui se fache en nous nan Ces rires contre larmes, l'égos contre l'âme Et à plus haute échelle je dirais l'illuminatique contre l'homme Epoque cruelle des nués de sang Dur de voir clair derrière les mascarades et les bués de sang Je me sent perdu comme au coeur d'une immense machine qui n'en a jamais eu et qui nous dénature Mauvais présentiment quand je pense au futur Les yeux ouvert, l'horreur tente de me les crever mais le plus dur Reste à venir le jour ou se sera trop tard Ou la surveillance sera obsolue et nos prénoms seront des codes barres Tout va de plus en plus vite car pour eux le temp c'est de l'argent alors on oublie de vivre et c'est navrant...