Tu achètes des vistuailles Quand la faim le tenaille Tu baffres et tu ripailles Lui se ronge les entrailles
Il boit du mauvais vin Toi là tu comptes ton butin Tu fermes ton coffre fort Il s'ouvre les veines en vain
Sais-tu que tu le tues En lui tournant le dos Qu'il n'aura comme repas Que le bruit de tes pas Le mépris de tes yeux Attisera son feu La moue de ta bouche Lui servira de couche
Je te donne ma joie, toi que le monde oublie Je te donne ma joie, dans l'ombre de ta vie Toi que le monde oublie, dans l'ombre de ta vie Je serais près de toi, toi que le monde oublie Je serais près de toi, dans l'ombre de ta vie Toi que le monde oublie, dans l'ombre de ta vie
Pour avoir vécu tous ces maux Me faire je ne peux plus C'en est trop
Que me vaut ce voyage sur ce sol sans partage Où règnent les mirages, si ce n'est ce message
Sais-tu que tu le tues En lui tournant le dos Qu'il n'aura comme repas Que le bruit de tes pas Le mépris de tes yeux Attisera son feu La moue de ta bouche Lui servira de couche
Je te donne ma joie, toi que le monde oublie Je te donne ma joie, dans l'ombre de ta vie Toi que le monde oublie, dans l'ombre de ta vie Je serais près de toi, toi que le monde oublie Je serais près de toi, dans l'ombre de ta vie Toi que le monde oublie, dans l'ombre de ta vie
Je repndrai le temps d'un instant De m'attacher à toi Toi qu'on isole du monde, monopole Toi que le monde oublie, toi que le monde oublie