Voila l’été, j’aperçois le soleil Les nuages filent et le ciel s’eclarcit Et dans me tête qui bourdonnent? Les abeilles! J’entends rugir les plaisirs de la vie C’est le retour des amours Qui nous chauffent les oreilles Il fait si chaud Qu’il nous poussent des envies C’est le bonheur rafraîchi d’un cocktail Les filles sont belles et les dieux sont ravis.
Enfin l’été Enfin l’été Enfin l’été Enfin l’été
Enfin l’été. Mais y’a déjà plus d’argent Le tout Paris se transforme en phobie Le métro sue, tout devient purulent Dans ses souliers, le passager abruti A dix doigts de pied qui s’expriment violemment Y’a plus d’amis les voisins sont partis L’été Paris c’est plutôt relaxant On rêve de plage Et la Seine est jolie.
Toujours l’été C’est pas du superflu Il fait trop chaud, le soleil m’abasourdit Rillettes sous les bras J’avance dans la rue Je pense a ces cons qui se font chier dans le midi Tous ces torche-culs qui vont cuire dans leurs jus Tous ces noies, la mer quelle saloperie Et sur les routes le danger ça vous tue Vivement l’automne, je me sens tout aigri.
Toujours l’été Toujours l’été Toujours l’été Toujours l’été
Voila l’été, j’aperçois le soleil Les nuages filent et le ciel s’eclarcit Et dans me tête qui bourdonnent? Les abeilles! J’entends rugir les plaisirs de la vie C’est le retour des amours Qui nous chauffent les oreilles Il fait si chaud Qu’il nous poussent des envies C’est le bonheur rafraîchi d’un cocktail Les filles sont belles et les dieux sont ravis.
Voila l’été Enfin l’été Toujours l’été Encore l’été.