Pas la peine d'appeler les secours Vous, les pompiers, pas la peine, j'en ai fait le tour Les gyrophares et les sirènes Ne feraient qu'alourdir, oh, ma peine Je ne cherche plus à les faire taire Depuis le temps j'ai laissé faire oh oh
Mes insomnies sont les pages blanches Que chaque nuit je remplis Mes insomnies sont aussi blanches Que le ciel de Paris Mais, en somme, si je perdais mes insomnies, Je me perdrais aussi, je me perdrais aussi
Pas la peine de dompter mes moutons En me soûlant, pas la peine, je n'aime pas les bonbons Tous ces mélanges d'apothicaire Me feraient, oh, la tête à l'envers Je n'ai plus envie de lutter Avec le temps, je laisse aller
Mes insomnies sont les pages blanches Que chaque nuit je remplis Mes insomnies sont aussi blanches Que le ciel de Paris Mais en somme, si je perdais mes insomnies, Je me perdrais aussi
oh oh Mes insomnies sont les dimanches Que chaque nuit je détruis Mes insomnies, mon cÂœur qui flanche Mes souvenirs aussi Mais, en somme, si je perdais oh oh
Mes insomnies sont les archanges Qui se penchent sur ma vie Mes insomnies sont bien étranges Mais elles me gardent en vie Mais, en somme, si je perdais mes insomnies, Je me perdrais aussi, je me perdrais aussi