Toute la mort se lève Tous les murs se glacent Bien en souvenir du monde Tous ce qu'on peut entendre Là où le silence frappe Toutes les larmes étaient longues Si l'humeur t'entraîne j'irai suivre la trace Mais tu le sais déjà Qu'une autre partie du sort est celle d'un masque Personne ne va où tu vas
Que les bruits se taisent Et que les heures se fassent A ce cri qui te berce A ce cri qui s'échappe
Que l'avenir te berce il n'y aura plus d'espace Qu'a tu dis à la vie pour qu'elle s'efface
Dis toi bien qu'on est deux A refuser le printemps Et les rêves ambitieux Mais on est bien vivant
Dis toi bien que pour eux On doit rêver trop souvent Ca nous rend ambitieux Mais on est bien vivant
Suis-je l'homme et le chien Ou bien l'inverse Souviens toi de l'ombre Tu est le fruit de rien Mais le sang d'un rêve Toutes les larmes sont des songes Je suis l'exil et tu me vois sans peine Tu est bien plus féconde Jusqu'à ce que tout s'éclaire Et que tu replonges Veux-tu vivre à l'envers
Que les bruits se taisent Et que les heures se fassent A ce cri qui te berce A ce cri qui s'échappe
Que l'avenir te berce il n'y aura plus d'espace Qu'a tu dis à la vie pour qu'elle s'efface
Dit toi bien qu'on est deux A refuser le printemps Et les rêves ambitieux Mais on est bien vivant
Dis toi bien que pour eux On doit rêver trop souvent Ca nous rend ambitieux Mais on est bien vivant