JEANNE : Aujourd'hui, on sort pas du lit, Le monde a pas besoin de nous. Nous, on peut bien vivre sans lui. Comme s'il n'existait pas, n'existait pas du tout (bis) OLIVIER : Je veux t'embrasser mille fois Et mille encore, à l'infini, Je veux me perdre dans tes bras Te faire l'amour jusqu'à, l'amour jusqu'à la nuit, (bis) TOUS LES DEUX : Donnons-nous cent mille baisers Cent mille encor', tant de milliers que le plus aigre des jaloux ne pourra Ne pourra jamais les compter JEANNE : Quel jour merveilleux le dimanche ! OLIVIER : Aujourd'hui tu n'es pas pressée... S'il te plaît donne moi une tranche. JEANNE : Attends je vais te la, je vais te la beurrer. Je te mets de la confiture ? ou bien du miel, si tu préfères ? OLIVIER : Je crois que j'aime autant nature JEANNE : Passe moi le sucre, c'est trop amer ! Ecoute les bruits de la rue Cette agitation, ces remous... OLIVIER : Cela ne nous concerne plus. Aujourd'hui, il n'y a que nous TOUS LES DEUX : Qu'il est doux d'écouter les bruits Des autos qui passent et klaxonnent. Quand on est au fond du lit et qu'on a Et qu'on a besoin de personne (bis) JEANNE : Tu es beau, ton corps est si doux ! OLIVIER : J'aime tant quant tu me caresses : JEANNE : Cette journée rien que pour nous.... OLIVIER : Toute une journée de pa... journée de paresse ! TOUS LES DEUX Donnons-nous cent mille baisers Cent mille encor', tant de milliers que le plus aigre des jaloux ne pourra Ne pourra jamais les compter