Est-ce un signe de la fin des temps ? La terre est ronde ouais ne tourne pas comme ! Les hommes et les femmes, victimes d'eux-mêmes constamment ivres ! Saoulés par la vie qu'ils mènent, subir des choix pris trop vite ! Les esprits philosophes soupirent Les autres s'excusent : je ne savais pas, Je ne pouvais, j'avais peur ou j'étais trop jeune Les regrets ne riment à rien, faut pas rêver on ne revient pas en arrière Justifier un mal pour le bien, ou par manque de principe Tirer la couverture sur soi, quand il n'y a ni froid, ni sommeil En plus au lieu de dormir, on fait l'amour ou on y croit Mais au réveil il faut se nourrir, à peine debout c'est déjà la course Et dans le trom, le discours des S.D.F. ne touche plus La vie est difficile, on a tous le même speech aux Assedic Mais oui ! ! ! ta femme te quitte, t'as plus de taf, tes mômes sont horribles Désolé d'être si cru, mais on a tous les mêmes problèmes
Refrain (x2) Demain peut-être Demain peut-être Demain peut-être Mais aujourd'hui…
Vl'à que le temps nous dépasse à la vitesse de la lumière noire Les saisons se dérèglent Les femmes veulent des couilles, les mecs des règles, A mon humble avis, la peine est une trop simple raison pour répandre des cendres Sous prétexte d'un peu de chaleur humaine, même c'est la merde hein Ben, nique tout ! ! ! Mais, qu'est ce que tu vas faire quand tu seras seul Et que t'auras tout comme avoir rien et être pleins, Le dilemme c'est que l'homme n'aime pas tellement partager. Et si nous étions tous riche et bien on se jalouserait. Ici on dort sur des polochons, On fait la grève quand on a pas l'eau chaude, Là-bas c'est la guerre, ici on s'en fout Toujours à se plaindre et les autres sont fous Enfermons-nous dans une coquille, envoyons-nous des e-mails A travers mes décibels, des milliers de fidèles aiment Je traîne avec les esprits, les astres mes balustrades. Cinq lustres une taffe de plus m'évitent le désastre