Quelque fois je ruine leur vie Sans savoir qui ils sont Et bien des fois je laisse venir La foule de mes démons. Si seulement ils voyaient leurs visages Et l'horreur de leurs sourires. Il n'y a que moi qui les rend sages, Et qui peut empêcher de dire... Et je les hais... Oh je les hais... Mais ils me tiennent Par le bout de mon âme ils me tiennent. Je les hais... Oh je les hais... Mais ils me tiennent Par le bout de mes veines ils me tiennent. Il n'y a que moi qui sache vraiment Où tout ça va finir : Un suicide si long, si lent, Je n'verrais pas par où le coup arrive. Je ne sens rien pour le moment Mais l'espoir est dans mon corps. Si mes démons me mordent encore, Je signe mon arrêt de mort. Et je les hais... Oh je les hais... Mais ils me tiennent Par le bout de mon âme ils me tiennent. Je les hais... Oh je les hais... Mais ils me tiennent Par le bout de mes veines ils me tiennent. Il n'y a que moi qui sache vraiment Où tout ça va finir : Un suicide si long, si lent, Je n'verrais pas par où le coup arrive. Je ne sens rien pour le moment Mais l'espoir est dans mon corps. Si mes démons me mordent encore, Je signe mon arrêt de mort. Et je les hais... Oh je les hais... Mais ils me tiennent Par le bout de mon âme ils me tiennent. Je les hais... Oh je les hais... Mais ils me tiennent Par le bout de mes veines ils me tiennent. {... ad libitum}