Tralalalalalala... Bilbao où les gauchos sont les plus beaux Oh oh oh oh Bilbao où les bécots ont des échos Oh oh oh oh Celui qui m'attend là-bas me prendra dans ses bras Quand il me tient contre lui, je crois tout ce qu'il me dit Et c'est pourquoi j' vais au galop à Bilbao Oh oh oh oh
Là, voyez passer sur la grand-route le matin, Son cheval, frémissant, l'emportait dans le vent Mais aux caballeros qui lui faisaient les yeux câlins Elle disait, l'air moqueur : Je ne donne pas mon cœur, Je traverse plaines et vallons, à mes lèvres monte la chanson Qu'on m'a fredonnée un jour et je vais vers l'amour A Bilbao où les gauchos sont les plus beaux Oh oh oh oh
Un riche haciendero lui dit un jour : Arrête-toi Ce domaine est le tien, ne va donc pas plus loin, Tu pourras, si tu veux, à tous ici dicter ta loi Je suis riche et je veux respirer tes cheveux Mais sans écouter le madrigal, en se retournant sur son cheval Elle cria : Tu n' sais donc pas que l' bonheur est là-bas ? A Bilbao où les gauchos sont les plus beaux Oh oh oh oh
Un jour, on ne vit plus passer la belle en ouragan, Les oiseaux des bosquets, étonnés, la guettaient Le gars de Bilbao l'avait serrée plus tendrement Dans ses bras vigoureux et les yeux dans les yeux Il avait simplement dit : M'amour, Nous resterons ensemble toujours Chante encore rien que pour moi ton refrain d'autrefois A Bilbao où les gauchos sont les plus beaux
Bilbao où les bécots ont des échos Oh oh oh oh Celui qui m'attend là-bas me prendra dans ses bras Quand il me tient contre lui, je crois tout ce qu'il me dit Et c'est pourquoi j' vais au galop à Bilbao Oh oh oh oh Tralalalalalala...