C'était... c'était... c'était... Du côté de la rivière, C'était du côté du ruisseau des lavandières C'était c'était c'était, Après le pont dans les herbes, C'était c'était du côté Du côté de l'été. On y voyait l'azur superbe Derrière l'usine à soufre. Les grillons qui couraient dans l'herbe Tombaient dans le gouffre de l'écluse. C'était c'était c'était L'amour des premiers âges, Volage, Un baiser trop vite accepté. C'était la volupté, C'était la chanson de l'été, C'était ma vie. C'était c'était c'était L'orage dans les wagons-foudres, C'était la maison du bossu Réduite en poudre... C'était c'était c'était Les gens sur la passerelle, C'étaient les voyous du quartier. Pour moi, c'était l'amitié Parmi les buissons des garrigues, Courant vers les jeunettes, M'arrêtant pour manger des figues, Chantant ma chansonnette Hiver, été. C'était c'était c'était L'amour des premiers âges, Volage, un baiser Trop vite accepté. C'était la volupté... C'était c'était c'était La route de la poussière, C'étaient les trains qui roulaient Dans la nuit familière. C'était c'était c'était Le bruit sourd d'une porte. C'était peut-être un mort ? Grand-mère qui revenait, Platanes au vent de septembre, Amis, chers musiciens, Bercez ce soir dans ma chambre Mes souvenirs anciens, Vieille mode. C'était c'était c'était Le temps heureux que j'envie. C'était la chanson de l'été ! C'était ma vie...