Pot-pourri Au Canada
Quand le cafard tourne en rond dans ta tĂȘte,
Viens dans ma ville, viens dans ma rue,
Quand les amis, les amours font la tĂȘte,
Viens dans ma ville, viens dans rue.
Y a du ciel bleu qui t'attend dans ma rue,
Un bouquet de soleil par-dessus
Et ça donne un air de fĂȘte tous les jours dans ma rue.
Danse avec moi puisque c'est toi que j'aime
Viens dans ma ville, viens dans ma rue
Et je suis sûre qu'en dansant tu verras
Que cette fille qui t'aime c'est bien moi!
Que l'on touche à la liberté
Et Paris se met en colĂšre
Et Paris commence Ă gronder
Et le lendemain, c'est la guerre:
Paris se réveille et il ouvre ses prisons;
Paris est en fĂȘte
Et Paris pleure de joie!
Quand tu t'en iras,
Puisque tu dois partir un jour
Et je le sais depuis toujours,
Quand tu t'en iras,
Ne cherche pas
A me serrer entre tes bras.
Non, ne me dis rien:
Je m'y attends depuis longtemps,
Ne t'en fais pas:
Tout ira bien.
Mais en t'en allant,
Regarde-moi
Et souris-moi
Tout simplement!
Le monde continuera,
La Terre ne s'arrĂȘtera pas,
Quand tu t'en iras,
Ni toi, ni moi n'allons pleurer pour ça!
Quand tu t'en iras,
Comme ces grands oiseaux frileux
Qui vont au loin chercher le bleu.
Le monde continuera,
La Terre ne s'arrĂȘtera pas,
Quand tu t'en iras,
Ni toi, ni moi n'allons mourir pour ça!
Comme nos voix ba da ba da,
Da ba da ba da,
Nos coeurs y croient ba da ba da,
Da ba da ba da,
Encore une fois ba da ba da,
Da ba da ba da,
Comme une chance, comme un espoir.
Comme nos voix ba da ba da,
Da ba da ba da,
Nos coeurs y croient ba da ba da,
Da ba da ba da,
Encore une fois ba da ba da,
Da ba da ba da,
Tout recommence: la vie repart.
Combien de joies, bien des drames!
Et voilĂ , c'est une longue histoire:
Un homme, une femme,
Ont forgé la trame du hasard.
Comme nos voix ba da ba da,
Da ba da ba da,
Nos coeurs en joie ba da ba da,
Da ba da ba da,
Ont fait le choix ba da ba da,
Da ba da ba da,
D'une romance qui passait lĂ
Chance qui passait lĂ ,
Chance, pour toi et moi ba da ba da,
Da ba da ba da,
Toi et moi ba da ba da,
Da ba da ba da,
Toi et moi ba da ba da,
Da ba da ba da,
Toi et moi ba da ba da,
Da ba da ba da,
Toi et moi!
Le bal allait bientĂŽt se terminer,
Devais-je m'en aller ou bien rester?
L'orchestre allait jouer le tout dernier morceau,
Quand je t'ai vu passer prĂšs de moi.
C'Ă©tait la derniĂšre valse,
Mon coeur n'Ă©tait plus sans amour,
Ensemble, cette valse, nous l'avons dansée pour toujours.
Ainsi va la vie,
Tout est bien fini:
Il me reste une valse et mes larmes.
La, la, la, la, la, la, la, la, la,
La, la, la, la, la, la, la, la, la.
C'Ă©tait la derniĂšre valse,
Mon coeur restait seul sans amour,
Et pourtant cette valse aurait pu durer pour toujours.
La, la, la, la, la, la, la, la, la.
Je vois que s'ouvrent les portes
De la petite chapelle.
Maintenant, voici qu'ils sortent,
Ăblouis de soleil.
Qu'elle est belle, qu'elle est belle,
Mais je dois les oublier,
Quand j'aurai vraiment trouvé l'amour,
On dira de moi un jour:
"Qu'elle est belle!"
En quelques mots,
Tu as tout brisé,
EffacĂ© mes rĂȘves, trop beaux
Pour ĂȘtre vrais.
Aujourd'hui,
C'est fini,
Car dans ta vie, il y a dĂ©jĂ
Un autre amour plus fort que moi.
Mais moi, je ne suis rien sans toi.
Mais moi, j'ai tant besoin de toi:
Ma vie, je la gardais pour toi,
Pourtant, je ne suis rien sans toi,
Sans toi!
Oui, je crois,
Qu'on peut bĂątir un monde avec des mots d'amour,
Oui, je crois,
Que nous ferons ce monde Ă nous chaque jour,
Oui, je crois,
Qu'il nous faudra mĂȘler nos larmes et nos joies,
Mais je crois,
Que j'aimerais la vie si je vis avec toi.
Aussi vrai qu'avec un peu d'amour, on fait tourner la Terre,
Aussi vrai que tes yeux sont ma seule lumiĂšre,
Aussi vrai que ma vie tient au fil de nos joies,
Oui, je crois,
Que mes jours n'attendaient qu'un mot d'amour de toi,
Je crois,
Que tout l'amour du monde est lĂ quand tu es lĂ ,
Je crois,
A chaque vérité qui me viendra de toi,
Oui, je crois!