Dis-moi qui t'a appris A effleurer ma bouche Toi qui suces ton pouce Quand tu es endormie
Plus belle qu'une ondine Quand tu sors de ton bain Tu caches ta poitrine Dans la paume des mains Des hanches insolentes A chaque mouvement Une bouche gourmande Et des yeux innocents Le soleil apprivoise Ton corps Ă contre-jour Et trouble les contours De ton ombre chinoise
Dis-moi qui t'a appris A effleurer ma bouche Toi qui suces ton pouce Quand tu es endormie